Après le premier tour, le PLR accuse le coup

L’Alliance neuchâteloise sort fragilisée de ce premier tour. «Quand on perd des sièges, on ne peut pas dire qu’on gagne», reconnaît Francis Krähenbühl, président de la section neuchâteloise du PLR, tout en estimant que la situation aurait pu être pire. Il se satisfait d’avoir «limité la casse» et souligne que les partis de l’Alliance décideront bientôt de leur stratégie pour le second tour. Toutefois, aucune discussion avec la gauche en vue d’une répartition des sièges selon un schéma 3-2 (trois pour la gauche, deux pour la droite) n’est envisagée pour le moment