Que faire des objets parlementaires en suspens?
Pour accélérer le traitement des près de 2'000 questions, interpellations, postulats et motions en suspens, le conseiller national Damien Cottier (PLR/NE) propose de limiter le temps de parole des élus de cinq à trois minutes au Conseil national. Il estime que cette mesure renforcerait l’efficacité du parlement sans nuire à la démocratie. La proposition suscite une vive opposition, plusieurs partis dénonçant une atteinte au débat démocratique. Dans le Jura et à Neuchâtel, la situation n'est pas aussi critique. Plongée dans la gestion cantonale de ce type d'objets parlementaires.