La démocratie mise à mal dans le projet de géothermie?
Lors d’une séance publique organisée hier soir à Bassecourt par la Commission de suivi et d'information sur le projet de géothermie profonde à Haute-Sorne, le professeur de droit Frédéric Bernard a affirmé que le processus n’avait pas porté atteinte à la démocratie. Malgré les critiques et les réticences exprimées par une partie de la population, le projet se poursuivra en mars 2025 avec des tests de stimulation destinés à actualiser les études de risques.