Instagram influencerait la santé mentale des jeunes
A parcourir les photos sur Instagram, on n'y voit que des sourires, de la classe et de superbes paysages. De quoi perdre en confiance en soi quand on a un coup de mou, d'après Raphaël Aubry, natif du canton de Neuchâtel et doctorant en psychologie sociale à l'Université de Genève. Il s'intéresse à cet impact, qui peut être négatif ou positif, sur les utilisateurs des réseaux sociaux. Pour sa thèse, il recherche des volontaires, majeurs et utilisateurs d'Instagram, pour répondre à un questionnaire à l'adresse du chercheur: raphaelaubry.com.