Du rire aux flammes à la fête médiévale
Festoyer sans bouffons? Impensable, comme au temps jadis du chevalier-poète Othon III de Grandson! Et à ces foleries-là, Zébulus et Azylis excellent. Gentes dames, nobles seigneurs, damoiselles et damoiseaux n’avaient d’yeux que pour eux, quitte à négliger cerf et sanglier à l’épeautre. L'Association des amis du château de Grandson, organisatrice de la fête médiévale, a joué la carte de la sécurité pour les soirées de vendredi et samedi, en réduisant le nombre de places de 1’000 à 300. Une fois l’obscurité tombée, c’est hors du temps que l’assemblée a été transportée.